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Je me suis Covert, je me suis enfuie dans les baisers d'un haricot
Jamais plus que du vent, c'est toujours ce que j'ai pensé pouvoir donner.
Mais petite déjà je rêvais à des envols mirifiques. A des lèvres remplies de désir, à des
tremblements de peau, à des voyages improbables. A des allons-nous-en et emmerdons-le-monde.
Jamais plus que du vent, et c'est d'un alizé souple et tendre que je me suis parée. Les cheveux au hasard
de ses mouvements, les doigts dans le ciel, les pieds nus et le sourire posé dans son cou.
Juste un souffle, au hasard d'une rencontre, au hasard de baisers maintes fois donnés. Au hasard
d'une nécéssité de s'envoler.
Pour que sur sa peau ne reste qu'un vent léger. Le mien.
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Commentaires
2AdamSamedi 29 Avril 2006 à 23:37En effet
on dira que je l'ai comprendu à peu près comme il faudru (ça aussi ça ne veut rien diru)Le pois des questions
La source s’est-elle tarie Covert, que tu t’écosses à toute bise soufflée ?5AdamSamedi 29 Avril 2006 à 23:43Maximgar
Le poid des questions est dans l'une de celles que je me posais à moi-même, toute seule avec un J, quant au fait que je ne pesais hélas pas bien lourd! Tu te souviens dis?Mais vois-tu petit Miel K
Si la source qui manque à la gousse est faite de syllabaires avec des délicates paluches, sache que j’en entends les frétillements et les minuscules bourrasques couler non loin de là.ben Lilly...
c'est moi, Jérémy de Maximgar, alias Max, alias Maxim, tu sais celui qui a des discussions au ras des coquelicots :)qui dit Miel ...
... dit abeille : c'est donc ou Willy, ou Cassandre, ou Maya !!! :) et elles font sûrement du miel de coquelicots !13AdamDimanche 30 Avril 2006 à 01:1115AdamDimanche 30 Avril 2006 à 01:3216Steve Mc QueenJeudi 4 Mai 2006 à 02:43Oui
Je voulais te dire que je t'avais repéré depuis quelques jours. Cette réutilisation du concept Louisebee est formidable. "N'est-ce pas". Et à quoi tu veux ressembler plus tard ? " Un saule pleureur". Magnifique. Que d'ambition !
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des baisers